Profitant au maximum de la délicieuse arrière saison Géorgienne, le week end dernier, nous sommes partis nous ballader en plein territoire Cherokee. Notre terrain de jeu se situe au nord est de l'état. Nous avions prévu d'allez aux Keown Falls, mais nous sommes un peu égaré en route. Heureusement, les Appalaches regorgent de state park. C'est donc par le plus grand des hasard que nous avons eu le plaisir de découvrir Fort Mountain.
Avant la marche, il est de coutume de commencer par un pique nique afin de faire le plein de force. Au fil du temps, nous sommes de plus en plus équipés.
La ballade se fait en deux temps. En premier, nous avons marché sur des chemins escarpés et accidentés dans la partie haute du parc.
Arrivé au sommet, nos efforts ont été récompensé par cette magnifique vue.
Ensuite, nous sommes tombés nez à nez avec cette tour. Je ne sais toujours pas ce qu'elle faisait là.
L'attraction principale de Fort Mountain est son stone wall (mur de pierre) vieux de plus de 150 ans. Les historiens ne connaissent pas très bien son origine. En bref, il y a 2 théories. Selon la légende indienne, les "Moon eyes" (vraisemblablement des albinos) sont venus se réfugiés dans la montagne pour échapper aux persécutions d'autres tribus, et ont érigés ce mur pour se défendre. Ce site aurait également été le théâtre de cérémonies indiennes. La seconde théorie est que le Prince Madoc du Pays de Galle, nostalgique des fortifications du pays de son enfance, ai construit ce mur. Enfin, une dernière possibilité reprend la même histoire que pour les Moon eyes avec des conquistadors espagnols menés par Hernado de Soto.
Il y a des écureils partout ici, aussi bien dans la forêt que dans la ville. Mais à chaque fois, il nous manque noter appareil photo pour vous les montrer. Après plus d'un an d'efforts acharnés, c'est chose faite.
En contre bas du stone wall, il y a un autre overlook.
La seconde partie de la ballade s'est faite autour d'un petit lac dans la partie basse du parc.
L'automne commence tout doucement à prendre ses aises. La forêt se pare de mille couleurs.
Une drôle de petite bébête pour finir.
Voilà qui conclut notre belle après midi ensoleillée à Fort Mountain.
Encore une ballade magnifique.
A bientôt pour la prochaine.
A+
Arnaud
samedi 15 octobre 2011
vendredi 7 octobre 2011
Le Petit Le Mans
Nous voilà partis pour assiter à une course automobile: "Le Petit Le Mans" on the Road Atlanta à une heure de la maison. C'est une épreuve contant pour les American Le Mans series et l'Intercontinental Le Mans Cup à laquelle participe les vedettes des 24h du Mans que sont Audi et Peugeot. C'est donc partie pour le revanche de Peugeot.
Je garde un grand souvenir de la fois où Jean-Pierre m'avait enmené voir une course de voiture. Je me rapel du bruit, qui m'avait fait peur, des odeurs de mélange essence-huile que j'adore, et de la vitesse qui me fait peur pour les pilotes. C'est un de mes souvenirs d'enfance des plus fort et des plus heureux. J'adorai aussi alors voir Jean-Pierre courir en Kart. C'était génial.
Je ne pouvais donc pas manqué l'occasion d'aller voir cette course en réel, avec mes voitures virtuelles favorites de mon jeux vidéo préférer, à savoir GT5 pour ne pas faire de pub.
Nous voilà donc confortablement installé en attendant le départ des 1000 miles (1609 km) ou 10 h de course.
Mélanie révise, histoire de comprendre les différentes catégories de voitures en course, et de répérer la voiture de David Halliday.
J'avoue qu'en endurance c'est compliqué, il y a trop de catégories différentes suivant la puissance et le coût de revient de la voiture. Pour faire simple, il y a les prototypes, et les GT.
Le départ est donné, avec les Peugeot 908 en pôle position, talonné de près par les Audi R18.
Il n'y a pas que des prototypes, mais aussi des GT. Ici une Ferrari concourant en GT, et une proche concourant en GTC.
Ici la Peugeot 908 n° 7 piloté par Anthony Davidson, Sébastien Bourdais et Simon Pagenaud. Malheureusement elle fut victime d'une casse mécanique, et ne fut donc pas en mesure de terminer la course.
Nous revenons en GT avec une Ferrari, et une Corvette, parceque les Corvettes c'est les meilleurs et parceque je suis Fan. Elles font un boucan d'enfer. On les entend arrivé de loin, et quand elles passent près de toi tu sens toutes tes tripes vibrer. J'adore.
Il y avait 2 Peugoet officielles engagées. Ici la seconde, la n° 8 vainqueur, pilotée par Franck Montagny, Stéphane Sarrazin et Alexander Wurz. Contrairement à la Corvette, elles fait très peu de bruit.
Il y avait aussi les Audi (qui elles ne font pratiquement pas de bruit, on entend que le souffle du vent quand elles passent), qui ont passé une sale journée. La n° 1 a finis dans le mur après la mi-course en doublant une GT alors qu'elle était en bagarre avec la Peugeot n° 8 pour la première place. Et que dire de la n° 2 ici en photo qui a très vite cumulé les problèmes techniques, et n'a jamais été en course pour la gagne.
Ma préférée, la Peugeot 908 du Team Oreca Matmut pilotée par Nicolas Lapierre, Nicolas Minassian, Marc Gené. J'aime les couleurs flashies de l'équipe, facile à repérer à grande vitesse et/ou dans un peloton.
Ici la grande rivale du team Pescarolo (absente ici) chez les prototypes essences lors des Le Mans series (remporté par le team Pescarolo): la Lola-Toyota du team Rebellion Racing pilotée par Nicolas Prost (les chiens ne font pas des chats), Neel Janiet et Andrea Belicchi.
La course est vraiment très intéressante. la différence de puissance entre les prototypes et les GT amènent des dépassements en continue tout au long des 10h de course, et entraine des sorties de piste qui ponctuent la course.
A chaque sortie de piste, la course est neutralisée par la safety car. Ce qui donne lieu à un "nouveau départ" à chaque fois, et encore plus de bagarre. Les team en profitent pour faire rentrer leur pilote au stand afin de mettre de l'essence et/ou de changer les pneus, voir le pilote.
Road Atlanta est un petit circuit champètre (pas de tribune, on s'assoit dans l'herbe) où tous les spectateurs ont accès au stand. C'était super sympa.
J'ai pu faire mon papparazi, avec Stéphane Sarrazin, le vainqueur.
Il y a une vrai effervescence dans les stand. Les mécanos sont impressionnant.
Il y a quand même des fois où j'aime le jaune.
Nous avons passé une superbe journée sous le soleil, bien que les températues étaient un peu fraiches à cause d'un vent frais.
Mélanie et moi avons adoré le vendor village où nous avons eu chacun un t-shirt Corvette Racing, et un Cadillac Racing, et un sac Nissan. Nous avons aussi essayé la Mazda 3 speed 3 sur un petit anneau de vitesse adjacent au circuit. C'était sympa. Cette voiture est une vraie petit bombe.
Malgrès le fait que la course soie retransmise par radio partout sur le circuit, ça n'était pas simple de suivre l'évolution du classement durant course. Avec le bruit des moteurs, on entend rien. Heureusement il y avait des grands écrans sur le circuit et des TV dans le vendor village.
Nous avons également aimé les cars gratuit qui permettent une bonne liberté de mouvement. L'événement est vraiment très bien organisé.
Nous avons vraiment passé une super journée. Ça restera pour moi un grand souvenir que j'aurais aimé partager avec Christophe et Jean-Pierre.
Qui sait, peut être pour l'édition 2012???
A+
Arnaud
Je garde un grand souvenir de la fois où Jean-Pierre m'avait enmené voir une course de voiture. Je me rapel du bruit, qui m'avait fait peur, des odeurs de mélange essence-huile que j'adore, et de la vitesse qui me fait peur pour les pilotes. C'est un de mes souvenirs d'enfance des plus fort et des plus heureux. J'adorai aussi alors voir Jean-Pierre courir en Kart. C'était génial.
Je ne pouvais donc pas manqué l'occasion d'aller voir cette course en réel, avec mes voitures virtuelles favorites de mon jeux vidéo préférer, à savoir GT5 pour ne pas faire de pub.
Nous voilà donc confortablement installé en attendant le départ des 1000 miles (1609 km) ou 10 h de course.
Mélanie révise, histoire de comprendre les différentes catégories de voitures en course, et de répérer la voiture de David Halliday.
J'avoue qu'en endurance c'est compliqué, il y a trop de catégories différentes suivant la puissance et le coût de revient de la voiture. Pour faire simple, il y a les prototypes, et les GT.
Le départ est donné, avec les Peugeot 908 en pôle position, talonné de près par les Audi R18.
Il n'y a pas que des prototypes, mais aussi des GT. Ici une Ferrari concourant en GT, et une proche concourant en GTC.
Ici la Peugeot 908 n° 7 piloté par Anthony Davidson, Sébastien Bourdais et Simon Pagenaud. Malheureusement elle fut victime d'une casse mécanique, et ne fut donc pas en mesure de terminer la course.
Nous revenons en GT avec une Ferrari, et une Corvette, parceque les Corvettes c'est les meilleurs et parceque je suis Fan. Elles font un boucan d'enfer. On les entend arrivé de loin, et quand elles passent près de toi tu sens toutes tes tripes vibrer. J'adore.
Il y avait 2 Peugoet officielles engagées. Ici la seconde, la n° 8 vainqueur, pilotée par Franck Montagny, Stéphane Sarrazin et Alexander Wurz. Contrairement à la Corvette, elles fait très peu de bruit.
Il y avait aussi les Audi (qui elles ne font pratiquement pas de bruit, on entend que le souffle du vent quand elles passent), qui ont passé une sale journée. La n° 1 a finis dans le mur après la mi-course en doublant une GT alors qu'elle était en bagarre avec la Peugeot n° 8 pour la première place. Et que dire de la n° 2 ici en photo qui a très vite cumulé les problèmes techniques, et n'a jamais été en course pour la gagne.
Ma préférée, la Peugeot 908 du Team Oreca Matmut pilotée par Nicolas Lapierre, Nicolas Minassian, Marc Gené. J'aime les couleurs flashies de l'équipe, facile à repérer à grande vitesse et/ou dans un peloton.
Ici la grande rivale du team Pescarolo (absente ici) chez les prototypes essences lors des Le Mans series (remporté par le team Pescarolo): la Lola-Toyota du team Rebellion Racing pilotée par Nicolas Prost (les chiens ne font pas des chats), Neel Janiet et Andrea Belicchi.
La course est vraiment très intéressante. la différence de puissance entre les prototypes et les GT amènent des dépassements en continue tout au long des 10h de course, et entraine des sorties de piste qui ponctuent la course.
A chaque sortie de piste, la course est neutralisée par la safety car. Ce qui donne lieu à un "nouveau départ" à chaque fois, et encore plus de bagarre. Les team en profitent pour faire rentrer leur pilote au stand afin de mettre de l'essence et/ou de changer les pneus, voir le pilote.
Road Atlanta est un petit circuit champètre (pas de tribune, on s'assoit dans l'herbe) où tous les spectateurs ont accès au stand. C'était super sympa.
J'ai pu faire mon papparazi, avec Stéphane Sarrazin, le vainqueur.
Il y a une vrai effervescence dans les stand. Les mécanos sont impressionnant.
Il y a quand même des fois où j'aime le jaune.
Nous avons passé une superbe journée sous le soleil, bien que les températues étaient un peu fraiches à cause d'un vent frais.
Mélanie et moi avons adoré le vendor village où nous avons eu chacun un t-shirt Corvette Racing, et un Cadillac Racing, et un sac Nissan. Nous avons aussi essayé la Mazda 3 speed 3 sur un petit anneau de vitesse adjacent au circuit. C'était sympa. Cette voiture est une vraie petit bombe.
Malgrès le fait que la course soie retransmise par radio partout sur le circuit, ça n'était pas simple de suivre l'évolution du classement durant course. Avec le bruit des moteurs, on entend rien. Heureusement il y avait des grands écrans sur le circuit et des TV dans le vendor village.
Nous avons également aimé les cars gratuit qui permettent une bonne liberté de mouvement. L'événement est vraiment très bien organisé.
Nous avons vraiment passé une super journée. Ça restera pour moi un grand souvenir que j'aurais aimé partager avec Christophe et Jean-Pierre.
Qui sait, peut être pour l'édition 2012???
A+
Arnaud
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